Dans les méandres de la nuit [Réserver]

Il était un peu moins de vingt heure sur la grande horloge de la place, le temps était froid et plus que désagréable, la pluie tombait à une cadence effrayante, surprenant les quelques personnes ce promenant dans les rues de la ville. Dans cette ville chaque personne ce battaient pour le droit d'avoir une place dans le monde, avoir une existence un simple nom ... En parlant de grand monde, celui-ci n'était fait que d'argent et de politique. L'on achetait la vie des gens par coup de billets de banque, les personnes n'ayant pas la chance d'avoir un abri sur leur tête était dit comme animaux ...

Vêtue d'une robe élégante bleu lune, faite de taftin, la jeune femme marchait d'un pas rapide et sec. Elle avait quittée sa demeure quelque minutes plus tôt pour pouvoir ce rendre à la pharmacie dans la quatrième avenue. Elle c'était prise de quelques douleurs à la tête, elle avait chercher par tout après les pillules prescrite par son médecin traitant mais elle n'avait su remettre sa main dessus, cela l'avait condamner à quitter son sofa moelleux et le feu qui brûlait hardament dans sa cheminée. Rien que ce petit fait contraignant, avait le don de l'hériter au plus au point et de la mettre dans un était profond de mauvaise humeur. Heureusement que personne n'était en sa compagnie en cette soirée, car ses oreilles auraient sans nul doute bourdonné grâce aux sarcasmes lancé par Heather.

C'étant perdu dans ses pensées, la jeune femme ne fit plus attention au décors qui pouvait l'entourer, elle connaissait le chemin par coeur, elle n'aurai sut ce tromper pourtant l'on aurai dit que ses pas l'avait emmenée dans une toute autre direction. Là où elle ce trouvait, tout était assé noir, l'on ne voyait pas à deux mètres devant soi et qui plus est la rue était plus que déserte, aucun son ne ce faisait entendre. La jeune préceptrice continua à faire quelque pas avant de discerner un panneaux, où il faisait écrit le nom de la rue où elle ce trouvait. Elle leva un sourcil quand elle ce rendit compte qu'elle était à l'ange de la sixieme avenue, devant elle ce trouvait d'ailleur un terrain vide qui appartenait selon ce qu'elle avait pu entendre dire à la famille Harland, une vieille famille de sang noble.

Heather détourna le regard une fraction de seconde pour enlever un grain de poussière imaginaire sur sa robe, quand soudain devant elle apparut une gigantesque bâtisse plantée dans un parc tout aussi immense ...

Esse encore son esprit tortueux qui lui jouait des tours ?

Oui cela ne pouvait être que cela ...

Mais cela avait l'air si réel, que Heather ne put s'empêcher d'approcher jusqu'a l'immence grille légèrement rouillée qui l'empêchait de passé dans le grand parc où ce trouvait le grand Manoir Harland. Soudain les grilles s'ouvrérent l'invitant à pénétrer dans sa propriété, un pas, deux pas, trois pas, et voila la jeune femme était enfin à l'intérieure de la propriété. Les grilles ce refermèrent derrière elle dans un son grinçant, elle était un petit point minuscule dans ce grand parc qui semblait ne pas avoir de fin. Heather ne le savait pas encore, mais en choisissant d'entrer dans le parc, elle venait de sceller son destin à jamais ...

Horloger Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 18/09/2005

Gabriel avançait d'un pas lent, l'oeil aux aguets, il n'aimait pas vraiment marcher dans Londres à cet heure avancée de la nuit, surtout par ce temps. La pluie le trempait jusqu'aux os, mais il évitait de s'en inquièter, accélérer le pas et perdre toute vigilance pouvait vous faire perdre la vie, même dans ces quartiers huppés... Le jeune horloger ruminait ses pensées, la mort de son père quelques mois plus tôt l'avait laissé à la tête de leur petit commerce, bien modeste somme toute, et qu'il avait bien du mal à maintenir à flôt malgré la qualité de son travail.

Les gens riches préfèraient amplement confier leurs montres et leurs horloges aux artisans des quartiers chics, bien qu'ils ne soient ni aussi bon que lui, ni aussi honnête.

*Il faut croire que plus on est riche, plus on cherche de moyen de dépenser son argent à des idioties*

Pensa-t-il avec mépris, il n'avait jamais été riche, et ne le serait sans doute jamais, mais c'était quelqu'un qui connaissait la valeur de l'argent, et au lieu de le dépenser sans compter, il pensait qu'il valait mieux le placer ou à tout le moins, s'en servir avec intelligence. Ce qui ajoutait encore à sa hâte de quitter ce quartier, bien sûr il y avait peu de risque de tomber sur quelqu'un, les personnes fortunées ne s'aventuraient pas dehors à cet heure et par ce temps, il fallait être fou, ou bien tout comme lui, ne pas avoir trop le choix.

*A moins d'être les deux...*

Ne se rendant même pas compte que ses ruminations lui avaient fait perdre toute vigilance, Gabriel faillit ne pas remarquer qu'il se trouvait devant une grille, seul ouverture d'une enceinte, entourant un terrain qui semblait bien vide à ses yeux

*Quel fou dépenserait de l'argent à grillager un terrain vide...*

Se préparant à une nouvelle tirade mentale sur les nobles et leurs lubies, il fût coupé dans son élan quand les grilles s'ouvrirent seules, devant lui, il recula de quelques pas, effrayé, mais également intrigué par ce qui se passait, car en même temps, apparaisait sur le terrain qui avait semblé vide, un immense manoir. Il ingorait quel était son nom et à qui il pouvait apartenir, il passait rarement par cet endroit et n'avait jamais fait vraiment attention. De plus en plus intrigué, il avança...

*Pourquoi quelque chose me dit que ce n'est pas une bonne idée...*

A présent de quelques pas dans le parc, il aperçut une silhouette, c'était une femme, visiblement bien vétue, elle contemplait le manoir à quelques mèttres devant lui, bien que quelque peu réticent à l'idée de s'approcher, il le fît tout de même, peux-être pourrait-elle lui dire ou il se trouvait, et pourquoi il avait l'impression de n'être plus vraiment à Londres. Impression qui ne le quittait pas depuis qu'il avait franchit le grillage, il savait que c'était stupide, mais il ne pouvait s'en empècher...

"Bonsoirs Miss, puis-je vous importuner quelques instants s'il vous plait ? Car j'ignores ou je suis et j'aimerais ardament le savoir..."

Ses paroles était assurées mais sa voix semblait éthèrée, irréel, il ne savait pourquoi, il contempla la dame, attendant une réaction de sa part, qu'il espèrait amicale, se rappelant soudainement, les comtes fantastiques qui abondaient en ce moment, espèrant ne pas avoir réveller sa présence à un quelconque démon...

Flânant dans le parc, la jeune femme ne put que laissé vagabonder son regard sur le grand bâtiment en face d'elle. Le Manoir était énorme et assé ancien, l'on aurai put croire que celui-ci ne comptait aucune habitant si de la lumière ne provenait guère de quelques pièces au première étage. Que cela était étrange, elle n'avait jamais remarquer cette propriété au paravent, non ce n'était pas cela ... Si elle ne l'avait jamais vu c'était tout bonnement parce qu'elle n'était pas là avant, quoi que ...

Que des questions sur cet endroit mystérieux et mystique mais aucune réponse passionnel s'offrait à la noble femme, cela recommençait-il donc ? Était-elle encore a croître à des crises de folie ? Ou alors ce trouvait-elle peux être dans la maison du diable ? Ridicule, tout bonnement ridicule, elle ne croyait pas plus a Dieu qu'au Diable, tout cela n'était que baliverne et sornettes qui était sortit de l'esprit de gens encore plus fou que elle même.

Heather voulut avancer vers l'entrée du Manoir, quand une voix parvint à ses oreilles, elle aurai sans nul doute dut être prise d'une certaine peur mais ce ne fut point le cas, elle ne fit que ce tourner doucement vers la personne qui lui avait adresser la parole, celle-ci ce trouva être un jeune homme tout juste sortit de l'adolescence. La jeune femme le scruta un instant de toute sa hauteur, son visage était fermer et froid comme toujours, ses yeux sans une once de vie parcourant le frêle corps de son interlocuteur, un pauvre artisan, voila tout juste ce qu'il était à en voir son accoutrement ridicule et son manque flagrant de politesse, ne connaissait-il donc pas l'étiquette ? Que pouvait-on demander à un simple paysan ...

* Il aurai tout de même put ce présenter, c'était la première chose à faire dans une conversation courtoise et polie, et moi qui suis obliger de lui parler ... Ne manquerait-il donc pas que j'utilise un langage chartier *

" Bonsoir Monsieur, vous m'avez déjà importunez si je ne m'abuse donc je ne peux guère ignorez vos paroles ... " dit-elle en faisant une légère révérence par pur politesse, mais son regard quand à lui ne s'abaissa point, il continuait à fixer le jeune homme.

La jeune femme fit quelqu'un pas dans l'herbe fraîchement mouillée avant de prendre en considération la fin de la phrase du jeune homme. Ou était-il ? Voila une question bien pertinente et enrageuse.

" Monsieur, nous sommes dans un parc avec des arbres et en face de nous ce trouves une propriété et nous devrions nous enquérir de savoir qui est donc le propriétaire car il est un fait que nous sommes bien grossier d'être entré chez lui ... " lâcha t-elle avec dédain.

Heather avait ignorer le fait est que la demeure devait sans nul doute appartenir au Harland, elle avait entendu parler d'eux par des vieilles femmes puéril et ennuyeuse mais n'avait jamais eu l'occasion de voir ses personnes à des soirées mondaines, donc elle en conclut qu'ils n'excistait sans nul doute pas.

" A qui est-je l'honneur Monsieur ? " demanda t-elle avec un certain dégoût a peine dissimuler, pourquoi jouer un jeu avec ce genre de personne ? Ce n'était guère la peine de revêtir un masque.

Horloger Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 18/09/2005

Gabriel, observait la jeune femme attentivement, lorsqu'elle se retourna et le toisa de ses yeux froid et sévère, il croyait avoir un regard qui impréssionnait son entourage, mais la demoiselle était bien supérieur à lui en ce domaine. Elle lui fît l'effet d'une de ses maîtresses d'école, une vieille femme acariâtre, hormis que cette dame était plus jeunes et sans conteste bien plus belle, mais sa beauté n'eveilla en lui aucun écho, ou si faible qu'immédiatement refroidi par son ton impérieux. Son ton était pourtant égal, mais ce sont ses paroles qui trahissait son état d'esprit, les mots mesurés était cassant.

*En quoi ais-je manqué de politesse ?*

Pensa-t-il en y ajoutant quelques mots bien sentit sur les nobles et les bourgeois, que de manière inutile qui fesait perdre un temps qu'il avait précieux, de plus il c'était excuser et n'avait pas été impoli, mais l'étiquette était quelque chose d'inconnu pour lui, un monde de différence les séparaient dès les premières paroles, mais il était trop maître de lui même pour s'en énnerver, comme l'aurait fait beaucoup de personnes de sa condition...

"Si je vous ais importuné, je m'en excuses bien bas madame, tels n'était pas mes intentions mais ces évennements bizarre m'ont quelques peu... hum... perturbé."

Ce qui n'était qu'à moitié faux car, son esprit tout entier était à présent tourné vers la compréhension et la curiosité, de fait qu'il perdait la plus grande partie de sa concentration, ne gardant que peu d'intèrêt pour la conversation. Mais il se reprit bien vite, après tout, c'est lui qui avait enclenché la conversation, et la dame semblait bien vouloir élucider cette énigme, elle aussi, toute noble et imbue de sa personne qu'elle ait pût être. Lorsqu'elle lui répondit d'une façon qui le fît revenir en arrière, loin dans son enfance ou on lui expliquait les choses avec condésendance, il eut un petit rire et il rétorqua avec amusement

"Merci madame vous m'envoyer ravi de me faire remarquer une chose qui m'avais si honteusement échappé, en effet il s'agit manifestement d'un parc avec des arbres."

Suite à cette petite taquinerie qu'il c'était permise, uniquement pour se venger quelque peu du ton supérieur de la jeune femme, il repris d'une voix plus calme et assurée.

"Mais je vous rejoint sur le fait qu'il serait par plus poli de nous signaler au propriétaire des lieux, surtout s'il s'agit d'une personne qui n'aprécie pas les importuns, je ne voudrais pas servir de déjeuner à un quelconque molosse. Et ce serait une grave perte pour la sociéter londonienne de voir disparaitre une beauté tels que vous"

Gabriel rougit un peu d'avoir osé faire un compliment à une dame de sa condition, mais il se ressaisit bien vite, tout d'abord elle était bien plus agée que lui, et elle allait très certainement lui reprocher sa hardiesse. Mais soudain, devant les paroles de la jeune femme, il comprit ce qu'elle lui avait reprocher tout d'abord, ou avait-il la tête pour avoir complètement homis de se présenter...

"Oh veuillez m'excuser, je me nommes Gabriel Winslow, horloger de mon état... Et vous madame, pourrais-je savoir à qui j'ais l'honneur de m'adresser ?"

Que des paroles, les paroles que le jeune homme s'efforçait de faire sortir de ses fines lévres entrait dans une oreille de Heather et ressortait aussi vite par l'autre. Pourquoi devait-elle subir la présence de cet homme, qui était nul doute désagréable et qui plus est ignorant. Qu'esse qu'elle n'aurait point donné pour être seul avec une tasse de thé à la menthe ... Mais pour l'instant elle était ici, dans le parc d'un énorme Manoir qui lui était totalement inconnu, l'on aurai put croire qu'ils avaient, Heather et le jeune homme quitter leur propre ville, même le pays, si pas leur dimension pour ce retrouver ici ...

Le jeune homme ce permit en plus de faire preuve d'humour, il était bien peu judicieux d'user de cette arme contre la jeune noble, qui était contre tout ce qui était risible ou qui apportait un peu de baume au coeur. Peux être pour le simple fait, qu'elle n'avait pas de coeur enfin proprement parler si elle en avait un, et celui-ci la rappelait souvent à l'ordre en battant à la chamade lors de ses crises de folie.

Heather ignora superbement le compliment offert par Gabriel, elle en avait reçut que de nombreux le long de ses années oh certes par des Messieurs bien plus vieux ou alors encore que des enfants. Mais cela n'avait plus d'importance, elle savait que de jour en jour sa beauté ce fannait de plus en plus, et qu'elle resterai sans nul doute célibataire pour ne pas dire " veille fille ". Pourtant ce n'avait été guère les amants qui lui manquait mais aucun n'avait réussi à allé plus loin, tous c'était décourager. Quelles doux crétins ...

Horloger ? Telle était donc le métier de cet homme, cette profession ramenait donc un salaire de misère ? A en croire ses vêtements d'un affreux goûts et d'un tissus peu soyeux, c'était un fait, être horloger ne ramenait rien. Enfin peux être seulement la dignité de gagner son argent honnêtement et d'avoir une petite vie tranquille sans encombre avec une jolie femme et de beaux enfants ... Exécrable ...

" Je me prénomme Heather Brandon, enchantée Monsieur " dit-elle avec un signe de tête doux et posé.

Horloger Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 18/09/2005

Gabriel vint se porter à la hauteur de la dame, pour observer le manoir, il ne fît pas attention au fait qu'elle oblitèrait totalement ses paroles, se comportant comme s'il n'existait pas, ou à peine, ce qui ne le dérangeait pas vraiment, rare était les personnes qui souhaitaient converser avec lui, les nobles l'ignoraient, les bourgeois se moquaient, et les gens de sa condition en avait peur à tord, rien de plus normal pour lui que cette conversation stérile

"Enchanter Madame Brandon..."

Répondit-il vaguement en commençant à se diriger vers la porte du manoir, oserait-il entrer ? La curiositer l'y poussait bien sûr, ainsi qu'autre chose qu'il ne pouvait identifier, mais il y'avait un monde entre avoir envie de faire quelque chose et s'exécuter, comme il l'avait dit, il n'avait pas envie de devoir courrir dans tout le parc avec un molosse cherchant à lui dévorer les mollets...

*Quoique cette jolie noble servirait d'apéritif, me laissant le temps de m'en aller...*

Il balaya bien vite cette idée, arrivant devant la grande porte du manoir, elle devait certainement ouvrir sur un hall grandiose car tels était l'agencement de ce genre de demeure, mais en général, seuls les nobles en visitaient d'autres, et il n'était qu'un simple artisan, cela ferait mauvais effet s'il demandait à entrer...

*Finnalement cette harpie va peux-être m'être utile*

Il fût un peu honteux de penser en ces termes d'une si jolie dame, mais elle ne fesait rien pour s'attirer son amitier, alors pourquoi aurait-il fait un effort...Il se retourna vers elle, pour constater qu'elle n'avait pas bouger d'un pouce.

"Et bien madame, si nous souhaitons en savoir plus, je crois que la bienséances voudrait que ça soit vous qui passiez devant, après tout ne suis-je pas d'un rang inférieur ?"

Heather suivit le jeune homme du regard, celui-ci ce dirigeai doucement vers la porte d'entrée du Manoir, il était bien décider à y entrer et a percer le secret du propriétaire. Il n'était peux être pas a prés tout si restreint qu'il en avait l'air. Mais le fait est de pénétrer dans cet demeure, laissait planer un mal à l'aise sur la noble. Non pas de nature froussarde ou peureuse, mais Heather avait un mauvais pressentiment. Elle savait au plus profond d'elle, qu'elle avait atteint un point de non retour ...

" Il n'est d'inférieur que l'homme qui ce l'avoue, Monsieur " dit-elle d'un ton ironique.

La jeune femme s'avança doucement vers les deux ou trois petites marches qu'elle devait monter avant d'arriver à la porte d'entrée, elle les monta une par une, avec une certaines grâce avant de ce retrouver à quelques pas de Gabriel et de la porte. Heather sortit un mouchoir blanc d'une poche de sa robe, celui-ci était fait de dentelles et avait de broder dessus un H.B, les propres initial de la riche héritière. Au mieux de ce servir de son mouchoir comme le souhaitait son usage, elle le prit pour cogner deux petits coups à la porte, puis elle ce recula doucement en l'attendent qu'un major d'homme viennent lui ouvrire la porte. Mais ce ne fut point le cas, la porte s'ouvrit toute seul, laissant place à un grand couloir vaste et faiblement éclairer ...

Heather leva un sourcil interrogateur de voir que personne n'avait ouvert la grande porte de chêne, souhoite ce n'était guère grave. Cela devait être un nouveau système à la mode qu'offrait sans nul doute une culture. Que des inventeurs de nos jours ... Par la suite la jeune femme observa Gabriel, dans l'espoir que celui-ci lui offre son bras pour pénétrer dans l'antre.

Horloger Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 18/09/2005

Gabriel regarda la dame, faire oeuvre de moult manière pour prévenir les occupants de sa présence à l'éxtérieur, comme si toutes ces simagrées avait une quelconque incidence sur le fait qu'on vienne, ou non, leur ouvrir la porte vénérable. Lui ce serait certainement contenter de frapper sans plus, ce pourquoi, il ne doutait pas qu'un jour, ce serait les gens de sa nature qui gouvernerait ce monde, l'éfficacité était tellement plus viable, en fait on eut dit qu'elle utilisait des emphases dans chacun de ses gestes, alors que cette technique n'aurait dût être réserver qu' à l'écriture selon lui, mais il n'était pas une personnes de lettre ou quelqu'un de raffiné et il n'en doutait pas...

"Alors c'est ainsi qu'une noble procéde lorsqu'elle en visite un autre, fascinant .... "

Ses paroles étaient plutôt moqueuse, désirant renvoyer à cette pécore sa remarque ironique, mais il les avaient pronnoncées sur le ton de l'admiration ce qui empècherait la dame de s'en offusquer mais il doutait qu'on vienne leur ouvrir, elle avait à peine éffleurer la porte... Pourtant à sa grande surprise la porte s'ouvrir sur un Hall d'entrée plus annodin qu'il ne l'aurait crut malgré qu'il soit vaste.... Il scruta les environ immédiat à l'intérieur, mais ne parvint pas à distingué quoi que ce soit, qui avait bien pût ouvrir ces portes...

"Je ne sais pourquoi mais les portes qui s'ouvrent seules, personnellement, ça me rend nerveux, pas vous ?"

Tout en pronnonçant ces paroles, il tendit son bras à la dame, non parcequ'il voulait lui plaire, mais même un simple horloger, pouvait avoir certains usages....

"Mais cela m'intrigues, si vous voulez bien me faire l'honneur madame ?"

[Suite dans le Hall]

» Dans une nuit pluvieuse ...
» Balade de nuit
» Par une sombre nuit ...
» Dans la rue déserte
» Errance dans le hall[premier post]