Comme toute autre chambre, la porte de celle de la jeune peintre affichait sur une plaque dorée le nom de celle-ci. Un oeil expert aurait pourtant tôt fait de remarquer que celle-ci avait quelque chose de différent. Le nom originel avait été barré. Pas seulement barré même, on aurait dit qu'un psycophathe s'était acharné dessus avec une dague jusqu'a ce qu'il n'en reste rien. Quoi qu'il en soit, le travail était efficace. On ne pouvait plus voir trace du mot sous les égratinures et le nom réécrit artistiquement à la peinture par-dessus; Wanda.
La porte s'ouvrait elle sur une pièce aparament propre des plus représentante de la personnnalité floue de la peintre; rien ici ne semblait avoir de sens. Pourtant, tout comme sur ses peintures, ce n'était qu'après une étude poussée de la pièce que l'on ne s'en appercevait vraiment. Premier détail que l'on remarquait était la fenêtre, qui a première vut pourrait sembler normale, qui était en fait une peinture recouverte sur les brod d'un rideaux de velours noir. Ciel de nuit sans nuage, ni étoile, centré sur une vue impressionament réaliste d'une éclipse lunaire. La lumière de la pièce était donc fournie part deux lampadaires à chandelle, comme on en aurait trouver dans la rue, à l'extrémité Nord et Sud de la pièce. Ce que l'on aurait pus confondre pour un lit, à la droit de l'étrange fenêtre, était en fait une table de travail recouverte du même velours que celui des rideaux. En dessous de celui-ci se trouvait les centaines de bouteilles de peintures frabiquée au fil des années par Wanda. Étrangement, une échelle sur le coté du meuble montait jusqu'au plafond. Peu savait que c'était sur l'étrange hamac accroché a celui-ci que la peintre dormait.